Avec du retard voilà les photos de la deuxième semaine de ce cours de répétition 2008. Le point marquant de cette semaine fut le nombre élevé de décollages du Mirage III de clin d’aile.
Il n’y aura pas de semaine 3 car j’étais avec une partie de la section engagé dans un exercices en Suisse orientale sans possibilité de faire des photos (vraissemblalement vous aurez des nouvelles de cet exercices dans le prochaine armée actualité).
Comme chaque année, me revoila en territoire broyard. Cette année encore, je profite de vous faire partager quelques photos intéressantes avec en bonus, des photos du nouvelle hélicoptère de transport léger, l’ EC-635 (T-352) appellé à remplacer nos chères Alouettes III.
Pour le plaisir des oreilles voici encore la voice des Hornets:
Je ne me souviens plus exactement quand j’ai eu mon premier natel, mais ce que je peux dire, c’est que c’était peu avant d’entrer en première année de l’EPFL, donc fin septembre ou début octobre 2000. Cela fait donc maintenant 8 ans de ça. J’ai en efffet vécu 19 ans sans natel (ce qui risque de me faire passer pour un vieux au yeux de la jeunesse actuelle). Une petite restrospective s’impose donc.
Le premier en 2000, un Nokia 7110. C’était encore les débuts, je n’osais pas trop téléphoner dans le train ou le bus.
Le premier en couleur, le Sony-Ericsson T68i, en 2002. Sans doute le natel avec le plus beau design que je n’ai jamais eu. J’en ai même eu deux ayant perdu le premier.
Un natel qui n’avait rien de bien particulier si ce n’est que d’être plus récent que l’ancien et de ne pas coûter bien cher, le Sony-Ericsson T630 en 2004.
L’arme absolue au niveau technologique, le Sony-Ericsson P990i, en 2006. Un design nullisime (en comparaison du P800 et p900) compensé par du 802.11 (Wireless), un grand écran tactile et un clavier.
L’actuel, l’iPhone 3G d’Apple, en 2008. Esthétique sobre et rafiné, toutes technologies inclues et surtout pour la première fois, la pleine compatibilité avec mes Macs.
Entrée du tunnel de service à Faido
Sasso Corbaro vu de Castelgrande
Musiciens dans la vielle ville de Bellinzone
L’association des anciens élèves de l’EPFL, section suisse orientale, s’était donné rendez-vous cette année, pour les 80 ans de la section, au Tessin.
Au programme de ce week-end:
L’ambiance fût excellente, ce qui ne fut de loin pas le cas du temps (un maximum de 400 l au mètre carré en 48 heures). Ce qui nous a valu, le dimanche, sur le chemin du retours, une promenade en bus postal, la voie du chemin de fer étant fermée entre Biasca et Airollo suite à des chutes de pierres. Heureusement, à l’exception du repas du samedi à midi, nous avons réussi, par miracle, à passer entre les gouttes.
Image radar de la Suisse (indiquant la quantité de pluie en train de tomber) le samedi à 11h
Swissminiature à Melide (cathédrale de Genève)
Cascades dans la vallée de la léventine, gonflées par les pluies
En ce dernier samedi du mois d’août, je suis sorti pour ce qui est, vraisemblablement, une des dernières grandes ballades de cette saison 2008. Comme le barrage du Roselend m’avait laissé un très bon souvenir, j’ai arrangé un parcours permettant d’y repasser.
L’itinéraire:
Au total 446 Km de jolies routes tout autours du Mont-Blanc.
Je recommande particulière la descente du grand Saint Bernard, côté italien, pas tellement pour la route mais pour le paysage qui rappelle brusquement que l’on est passé au sud des Alpes (je pense en l’occurrence à la superbe forêt de mélèzes à la couleur vert tendre). Attention il est cependant impératif de passer par le col et non par le tunnel pour emprunter cette partie du parcours.
Le Cormet de Roselend est toujours aussi incroyable, de plus cette fois ci je me suis permis de faire un petit détours pour aller voir le barrage de plus près.
En cette journée orageuse du mois d’août, j’ai enfin réalisé un test que je désirai faire depuis longtemps: Je suis allé faire un tour sur le Lac avec le nouveau bateau de la CGN.
Il s’agit donc d’une bateau appartenant à la Compagnie Générale de Navigation sur le lac Léman (CGN) dont les spécifications se trouvent ici.
Comme indiqué par la puissance des deux moteurs, ce bateau va vite (50km/h) et accélère fort. Il n’est pas vraiment plus bruyant qu’un autre, mais peut être un peu moins confortable de par le fait que même les petits changements de direction se font assez facilement sentir (il n’y a pas de progressivité mais plutot des à coups). Ceci dit l’entrée en service de ce bateau permet de relier Nyon à Genève et ce avec un arrêt a Chens-sur-Léman en moins de 45 minutes (selon mon expérience, et en 45 minutes selon l’horaires).
Si vous avez l’occasion de passer sur les rives du Léman, je ne peux que vous recommender de faire un tour avec ce bateau (il est marqué spécialement dans les horaires) qui offre l’avantage d’être nettement moins remplis que les bateaux belle époque pendant la période estivale.
Total: 330.4 Km
Au final 741.9 Km en deux jours et un pneu arrière bon pour la poubelle.
via:
Total: 407.1 Km
Retours de Zürich à Genève en passant par:
Total: 343.2 Km
